Participer à une résidence de vidéaste scientifique : Mon expérience au Quai des Savoirs à Toulouse

Bonjour à tous et à toutes ! Aujourd’hui je reviens sur mon expérience lors de ma venue à Toulouse au Quai des Savoirs dans le cadre d’une résidence de vidéaste scientifique. Une expérience enrichissante et surtout très intéressante dans le cadre de mon travail autour de la vulgarisation de la mort.

Qu’est-ce qu’une résidence de vidéaste scientifique ?

A la différence d’une commande de vidéo où les termes sont définis dans le cadre d’un contrat commercial, la résidence de vidéaste est un dispositif qui permet d’être accueilli dans une institution. Chaque année, le Quai des Savoirs propose à des vidéastes – connus ou non – de venir une semaine pour travailler autour d’une vidéo en lien avec leur exposition du moment. J’avais vu passer les années précédentes ces propositions de projets, mais cette année j’ai décidé de postuler puisque le sujet m’inspirait beaucoup autour de leur exposition “De l’Amour” qui a lieu jusqu’en Septembre 2021. Ainsi, j’ai respecté le cahier des charges demandé en vue de la candidature et j’ai envoyé un dossier. Le mien faisait une quinzaine de pages et était illustré afin de me présenter et surtout de présenter une idée de projet en lien avec l’amour et la mort. Deux sujets qui peuvent paraître antinomiques mais qui s’accordent très bien. Deux sujets très riches en termes d’interdisciplinarité également. Ainsi, je recevais la validation de ma participation et quelques mois plus tard je posais mes valises à Toulouse pour une semaine.

Le Quai des Savoirs met à ma disposition du matériel, leur réseau et toutes les ressources autour de l’exposition ainsi qu’une bourse. Ainsi, un planning a été créé en amont de ma venue et a été travaillé grâce à toute l’équipe du Quai des Savoirs qui m’a permis d’interviewer des chercheurs ou encore d’accéder à des pièces muséales pour illustrer mon propos. Dans mon cas, ce travail s’est vraiment fait main dans la main avec les équipes bien que j’ai carte blanche sur mon contenu, sa forme ou encore son propos.

Le podcast : https://podcast.ausha.co/le-bizarreum/l-amour-et-la-mort-complement-de-la-video-sur-youtube

Un planning riche et chargé

Durant la semaine du 22 au 26 Février 2021, j’ai pu mettre en œuvre tout ce que nous avons organisé en amont de ma venue. C’est un planning chargé qui m’attendait. J’ai eu la chance d’être entourée par l’équipe et d’avoir à mes côtés Mariette Escalier qui m’a accompagnée durant ma semaine. Certains vidéastes sont plus autonomes ou préfèrent travailler de façon solitaire mais j’ai voulu plutôt orienter cette semaine sur les échanges et sur une fort implication auprès des institutions locales. A cause de l’épidémie en cours, tout n’a pas été facilité. Beaucoup de restrictions ont fait que tous les rendez-vous n’ont pas forcément été facilité et donc faits à distance et les musées étant fermés, il a fallu vraiment s’organiser de façon logistique et sanitaire pour pouvoir programmer les moments de tournage. Il fallait donc être flexible et mobile !

Lundi 22 Février.

J’ai pris le train depuis Lyon vers 7 heures du matin pour arriver le midi à Toulouse. J’ai pu rejoindre le Quai des Savoirs et faire connaissance avec l’équipe. Une prise en main du matériel mis à ma disposition m’a été présentée par l’équipe technique du quai. Un matériel de haute qualité que je peux choisir ou non d’utiliser selon mes besoins. Les vidéastes qui se filment en face caméra par exemple, bénéficient d’un espace dédié avec des fonds de différentes couleurs pour leurs prises. Dans mon cas, dans le cadre d’un travail majoritairement en voix off, le matériel s’est retrouvé simplifié en adéquation avec mes besoins et ce que j’ai déjà.

Ma vue préférée de l’exposition avec ses jeux de lumière

Puis, j’ai pu découvrir l’exposition et me familiariser avec les lieux. Nous avons terminé la journée par la venue de Valentine Chapuis, photographe à la Dépêche du Midi pour quelques portraits afin d’illustrer l’article de Julie Philippe et illustré par Valentine Chapuis sorti le soir même sur le net et le lendemain sur papier. Un article qui permettait de me présenter ainsi que l’objectif de ma venue à Toulouse. Une chouette occasion pour moi de faire un clin d’œil à mes ancêtres de la région !

Je suis rentrée le soir dans un petit studio que j’ai loué pour la semaine à quelques minutes du Quai pour ne pas perdre de temps dans les transports ! C’est toujours très particulier d’apprendre à être chez soi de “partout” en bougeant beaucoup pour le travail !

Chaque soir je passais en revue la journée écoulée pour pouvoir procéder au fil créatif et à la réalisation de la vidéo, du podcast et de cet article.

Mardi 23 Février 2021

Le matin je me suis lancée à l’assaut d’un bureau de tabac pour trouver l’exemplaire de La Dépêche du Midi et j’ai eu le plaisir d’y voir la dernière page consacrée à mon travail !

Cette seconde journée annonçait le début acté de ma résidence. Le matin j’ai pu visiter l’exposition avec Maja Wasyluk qui est chargée d’exposition. J’ai ainsi pu en savoir plus sur les différents dispositifs mis en place, sur le choix de la muséographie et sur la quantité de travail autour de cette exposition. Le résultat est à la hauteur puisque toute l’équipe a fait un chouette travail de visuels, d’effets de lumières et d’immersion sonore. J’ai beaucoup appris et j’ai pu échanger autour de différents sujets. Une rencontre très intéressante pour mieux comprendre les enjeux et la vocation de l’exposition.

Le midi, j’ai pu avoir un aperçu du Museum de Toulouse très rapide car ce dernier est fermé. En revanche, la boutique est ouverte au public et elle est très bien fournie ! Le Museum a lancé malheureusement à l’orée du second confinement son exposition Magie et Sorcellerie ! On retrouve de nombreux contenus en ligne cependant pour patienter gentiment.

L’après-midi, rendez-vous au MSR, le Musée Saint-Raymond de Toulouse pour travailler autour de leur espace d’exposition intitulé “Le monde des morts” afin de faire quelques prises de vue pour ma vidéo en cours de production lors de ma résidence. L’idée était de venir découvrir les sarcophages paléochrétiens ainsi que le reste de la collection pour alimenter mon travail.

Pour ne rien gâcher, le Musée se trouve dans un bâtiment construit en 1523 tout en briques. Plusieurs étages permettent de découvrir les collections dans une muséographie en évolution qui permet une réelle immersion dans le sujet et ainsi découvrir de très belles pièces.

Mobilier funéraire en verre – coupes & balsamaires.
Les travaux d’Hercule.

Puis avant de rentrer pour la fin de journée, nous avons fait un saut à Saint Sernin de Toulouse qui est à proximité immédiate avec le musée Saint Raymond. L’endroit est superbe, la crypte était ouverte et on peut y découvrir de très belles fresques médiévales. Ces dernières ont été découvertes lors de travaux dans les années 70 et remontent au XIIe siècle. Leur restauration en vue de leur conservation est toute récente !

Petit Saint céphalophore sur châsse.
Relique avec son sceau permettant le culte de cette dernière.

Mercredi 24 Février

Le très joli musée Labit.

Journée de milieu de résidence après des premières journées bien chargées. Direction le musée Labit et ses collections archéologiques glanées par Monsieur Labit à la fin du XIXe siècle. Adepte d’art oriental et asiatique mais également égyptien, les collections sont très intéressantes et la muséographie également.

Encore une fois, j’ai pu immortaliser certaines pièces pour ma vidéo sur le thème de l’Amour et la Mort.

Vitrine de l’art chinois.
Couple et ses enfants Nouvel Empire (vers 1550-1069 av. J.-C.)
Dieu Bes.
Momie de In Imen.

Le musée a été fondé en 1893 par Georges Labit qui était un voyageur très passionné par les objets étrangers. Il a ainsi regroupé des objets pour constituer une collection tout à fait intéressante en France. Georges Labit a souhaité que le bâtiment où se trouvent les collections soit de style mauresque et entourée d’un jardin botanique exotique. Le lieu est très apaisant et les collections variées allant des netsuke japonais aux kappala du Tibet ! Le musée est doté d’une très jolie boutique qui ne gâche en rien le plaisir des visiteurs, bien au contraire !

L’après-midi j’ai travaillé sur le contenu de ma vidéo et de mon podcast puis nous avons fait les préparatifs pour le live du soir-même sur Instagram où j’avais envie de présenter l’exposition et quelques dispositifs de cette dernière mais également un peu de mon travail sur place.

Jeudi 25 Février

L’avant dernière journée était consacrée aux prises de vue dans l’exposition pour ma vidéo mais elle a été agrémentée d’une visite plutôt inattendue. En effet, par curiosité le Lundi, j’ai demandé à Mariette – puisque la zone du Quai du Savoir jouxte l’Université de médecine Purpan ainsi que d’anciens locaux – si il ne reste pas un amphithéâtre anatomique. J’aime visiter ceux de France et de Navarre. Et il en existe un qui est toujours visible mais qui n’est plus utilisé. Ainsi, Mariette a demandé une autorisation de visite obtenue grâce à l’équipe de Monsieur Le Doyen et par Monsieur Le Doyen lui-même. Je remercie l’ensemble de ces personnes pour cette possibilité.

Toulouse s’est vue enrichie d’un enseignement de la médecine à partir du XIIIe siècle et son évolution dans le temps s’est faite au gré des nouveautés mais également des aléas de la ville (croissance, décroissance, inondations, épidémies…). Pour autant, c’est une université prestigieuse puisque de nouveaux bâtiments ont été inaugurés en 1891 par Jean Jaurès et par Sadi Carnot. Ainsi, Toulouse n’avait pas à rougir de son histoire de la médecine face à Montpellier, Lyon ou encore Paris.

Table de dissection / autopsie avec les systèmes d’évacuation des fluides et la douchette.
Quelques instruments pour habiller la salle.
On voit les différents étages équipés des strapontins qui permettent aux étudiants ou collègues de participer à l’étude dans la plus pure tradition de l’étude de l’anatomie.
Le système d’éclairage pour bien mettre en valeur le sujet.

Bien souvent, les archives d’amphithéâtre anatomique toulousain montrent les amphithéâtres de l’école Nationale Vétérinaire de Toulouse à ne pas confondre avec le lieu d’enseignement de la médecine au cœur de la ville. L’amphithéâtre est un véritable témoin de l’évolution de l’histoire de la médecine. Étages, strapontins individuels en bois, table de dissection au centre avec sa douchette, tout est conçu pour pouvoir faite les démonstrations aux étudiants ou autres médecins. L’importance de la conservation de ce bâtiment est de pouvoir montrer comment se pratiquaient la médecine auparavant alors que les habitudes d’enseignement changent et que les amphithéâtres de ce type ne sont plus utilisés.

Le soir nous avons procédé au live sur Instagram où vous avez été une bonne poignée de personne à écouter et à découvrir l’exposition à travers quelques unes de mes explications et surtout pour comprendre ma démarche et ma venue au Quai des Savoirs !

Vendredi 25 Février

Cette dernière journée au Quai des Savoirs a été l’occasion de participer le matin durant trois heures à une visite guidée faite par l’Office de Tourisme de Toulouse ! Une visite à pieds pour découvrir l’histoire de la ville depuis ses premiers habitants mais également tout l’aspect architectural, l’urbanisme et les grands moments de l’histoire locale. De la production du pastel et de l’enrichissement de commerçant aux histoires plus sombres autour de mises à mort ou encore de momies mystérieuses, la visite a été très riche et la guide nous a permis de découvrir des lieux et des détails passionnants.

J’ai beaucoup appris et c’était très agréable de poser un regard sur la ville grâce à toutes les anecdotes historiques. Vous pouvez participer à une visite guidée de l’Office de Tourisme sans aucune hésitation car on passe un excellent moment !

La fin de journée approche par la suite avec les dernières finitions. J’ai eu l’occasion de m’entretenir avec Tony Le Bastard de Météo France ! Le résultat de notre échange se trouve en podcast ! J’ai pu profiter de ce séjour pour apprécier également la gastronomie locale que j’adore avec de très bons restaurants qui faisaient les plats à emporter.

Inutile de dire que j’ai été plus que bien reçue pendant la semaine, tout le monde a été très gentil avec moi et s’est coupé en deux pour que je puisse mener à bien mon projet. J’avais même une petite loge, c’était la première fois que ça m’arrivait et c’était vraiment chouette. J’ai ainsi pu apprendre, m’enrichir et rentrer à Lyon le Samedi matin fatiguée certes mais ravie de cette première expérience résidence ! Par la suite, nous échangeons beaucoup, je donne des nouvelles de l’avancée des projets. Si initialement je ne dois produire qu’une vidéo, j’avais envie de la compléter avec un podcast et cet article pour montrer l’envers du décor. J’espère que cela vous a intéressé, je ne fais pas partie des vidéastes qui racontent les dessous de leurs travaux en vidéo mais je pense que c’est important que mon site web me permette de le faire.

Logement et nourriture.

Le petit bonus de mon article : Mes petites astuce tourisme / nourriture à Toulouse grâce à Mariette pour les repas et le petit studio je l’ai trouvé sur Booking. J’apprends toujours à découvrir les nouvelles villes !

Mon petit studio cosy à Toulouse à 2 minutes du Quai des savoirs et du Museum.

Mon petit studio avec le canapé dépliable.
Quand on travaille beaucoup en dehors de chez soi, on apprend à être chez soi partout !

La nourriture !

Remerciements

Je remercie toute l’équipe du Quai des Savoirs d’avoir accepté mon projet, de m’avoir si bien accueillie et accompagnée durant cette expérience.
Je remercie l’équipe du Musée Saint-Raymond de Toulouse pour son accueil et ses indications mais aussi pour son aide documentaire.
Je remercie l’équipe du musée Georges Labit de m’avoir accueillie également pour alimenter mon travail.
Je remercie Tony Le Bastard de Météo France pour l’entretien que nous avons fait autour du thème de la foudre durant cette semaine.
Je remercie l’Office de Tourisme de Toulouse pour la visite guidée de la ville au cours de mon séjour ainsi que de l’effort fait par l’équipe pour coller à mes intérêts particuliers.
Je remercie l’équipe de l’Université de Médecine Purpan et surtout Monsieur Le Doyen d’avoir accepté notre venue pour découvrir le patrimoine médical de l’Université.
Je remercie mes abonnés locaux de leur accueil virtuel !
Je remercie Madame Nottaris du Museum de Toulouse mon son accueil.

Enfin, je remercie Mariette pour son accueil, son accompagnement, sa bonne humeur tous les jours à crapahuter dans la ville pour me montrer plein de choses intéressantes et pour découvrir les bons restaurants du quartier.

Sources de la vidéo :

TILLIER, Anne-Marie. L’homme et la mort : L’émergence du geste funéraire durant la Préhistoire. Nouvelle édition [en ligne]. Paris : CNRS Éditions, 2009 (généré le 25 mars 2021). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/editionscnrs/7739>. ISBN : 9782271091185. DOI : https://doi.org/10.4000/books.editionscnrs.7739.
Frédérique Blaizot, « Réflexions sur la typologie des tombes à inhumation : restitution des dispositifs et interprétations chrono-culturelles », Archéologie médiévale [En ligne], 38 | 2008, mis en ligne le 24 avril 2019, consulté le 25 mars 2021. URL : http://journals.openedition.org/archeomed/21021 ; DOI : https://doi.org/10.4000/archeomed.21021
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Intelligences artificielles : Contenu d’exposition du Quai des Savoirs.
Test de My Heritage.
Digital Shaman Project et AI : https://lebizarreum.com/que-penser-du-digital-shaman-project-le-robot-domestique-a-visage-de-defunt/
Crime passionnel :
https://uptv.univ-poitiers.fr/program/les-amphis-du-savoir-2021/video/59181/a-la-vie-a-la-morgue-une-conference-du-dr-alexia-delbreil/index.html
https://www.cairn.info/publications-de-Alexia-Delbreil–126552.htm






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